Lili Barbery

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Quel solaire emporter dans sa valise cet été ?

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Les recommandations de ma dermato + les conseils reçus au cours de 15 ans de journalisme beauté. Everything you should know about sun care and filters : english text included

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Lili Barbery
juil. 20, 2025
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Quel solaire emporter dans sa valise cet été ?
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À Sifnos, en mai dernier, lorsque j’ai organisé ma dernière retraite de yoga, beaucoup d’élèves ont pris des coups de soleil malgré l’application de crèmes d’indice SPF/FPS50 sensées les protéger. Dans les Cyclades comme en bateau, le vent trouble les sensations corporelles. Il nous prive des alertes naturelles qui permettent de ressentir que la peau chauffe et qu’il est temps de se mettre à l’ombre. D’où l’importance de choisir un produit ultra efficace. Beaucoup répondront qu’il n’y a pas meilleure protection que l’éviction totale. C’est vrai mais ce n’est pas toujours possible. Et si l’on randonne ou que l’on navigue en mer, la protection solaire doit être fiable. Quand j’étais petite, on craignait les coups de soleil parce que ça faisait mal de s’endormir sur une peau brûlée, la Biafine collée aux draps. On ne se doutait pas que la brûlure superficielle n’était que la partie émergée de l’iceberg : l’exposition excessive au soleil accélère le vieillissement cutané (rides, perte d’éclat et d’élasticité…), la photosensibilisation (taches brunes ou blanches, grains de beauté) et peut provoquer des cancers de la peau (carcinomes ou mélanomes). Depuis 1992, l’exposition au soleil est classée cancérogène par le Centre International de Recherche contre le Cancer (CIRC). La publication d’études démontrant la toxicité des ultra-violets n’a cessé d’augmenter depuis. Au cours de ma carrière de journaliste dans la beauté, j’ai assisté à près d’une centaine de conférences sur le sujet. J’ai rencontré les chercheurs scientifiques de tous les grands groupes cosmétiques. On m’a montré ma peau telle qu’elle serait lorsque toutes les taches pigmentaires qui sommeillent sous mon épiderme sortiront (un cauchemar). J’ai interviewé un nombre incalculable de dermatologues. J’ai aussi rencontré beaucoup d’experts en formulation, des biologistes, des facialistes, des experts en ingrédients bio… De toutes ces années, j’ai acquis quelques convictions basées sur des consensus scientifiques. Cette semaine, j’ai discuté de tous ces points avec ma dermatologue que je consultais pour checker mes grains de beauté. Elle a validé ce qui suit. La suite de cet article est réservée aux abonnés payants.

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