Passer de l'agacement à l'alignement
J'ai beau enseigner la méditation, je crois bien qu'un flic réactionnaire sommeille en moi. Réflexions sur ma colère passagère et solutions pour retrouver ma boussole...
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Il me reste quelques places pour le cours de dimanche 30 mars à la Villa Gypsy de 18h15 à 19h15. Si vous voulez vous inscrire, écrivez-moi à contact@lilibarbery.com le cours coûte 25 euros par personne, les tapis sont fournis et les debutants bienvenus. Les inscriptions pour avril sont également ouvertes !
Il y a plein de nouveaux cours disponibles sur ma plateforme LILI BARBERY TV, c’est le printemps, l’énergie remonte à mesure que les journées rallongent. Profitez-en pour mettre votre corps en mouvement. Tous les lives de 30 minutes enregistrés en mars sont disponibles dans la rubrique Méditations de Lili (et bientôt dans la rubrique 30 minutes), il y a un nouvel atelier de 2h pour fêter le printemps, des cours de 60 minutes. MOTIVEZ-VOUS, DÉROULEZ VOTRE TAPIS, vous savez qu’on ne le regrette jamais après ! Et pour vous abonner, c’est par ici.

Parfois, j’ai l’impression qu’on est douze pélos à partager les mêmes valeurs au milieu de millions de connards qui veulent notre destruction. Je sais que c’est une illusion et qu’on fait juste moins de bruit que les autres. Mais punaise, heureusement que je n’ai pas le pouvoir du chef des armées car j’aurais autant de sang-froid que J.D. Vance. Vais-je avoir le droit de remettre un jour les pieds aux États-Unis pour avoir prononcé cette phrase ? Rien n’est moins sûr.
L’ère de l’escroquerie digitale
Il y a quelques jours, j’ai reçu une newsletter de Flamingo Estate, une marque américaine que j’aime beaucoup. Son fondateur, Richard Christiansen, racontait qu’il avait reçu un email furieux de la part d’un client se plaignant de ne pas jamais avoir reçu sa commande. Ne retrouvant aucune trace de l’achat, Richard s’est aperçu que le client s’était fait arnaquer par un site généré par une intelligence artificielle ayant pris l’allure et le nom de Flamingo Estate. Au lieu du .com, l’escroquerie digitale portait une autre terminaison. Ces derniers jours, je suis tombée sur une vidéo du parfumeur maison de Dior, Francis Kurkdjian, interviewée par deux journalistes beauté américaines au sujet des copies olfactives qui circulent actuellement sur Internet ou dans des magasins à peine clandestins. J’ai découvert l’existence des « dupes » à Marseille dans un Uber. J’ai cru reconnaitre le parfum Baccarat en montant dans sa voiture. Flatté par ma capacité à identifier son sillage, le chauffeur m’a avoué qu’il s’agissait d’une copie bradée et qu’il en existait PLEIN d’autres. Il ne pouvait plus s’arrêter de rire en voyant que je n’avais jamais entendu parler de ces copies. Sur Tiktok, des gamines plus jeunes que ma fille passent leurs journées à comparer de véritables parfums (ou fringues/sacs/séchoirs à cheveux et autres bidules à la mode) avec des copies dénichées sur Shein ou d’autres sites merdiques du genre. ÇA ME REND ZINZIN. la suite de ce texte est réservé aux abonnés payants